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Love me, Take me, Betray me, Leave me

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Samedi (11/10/14)
As I puke on your feet

Tu as fait de moi le monstre décrit par Benighted. Passionnément je te hais, alors que les cicatrices de toi n'ont disparues ni de mon corps, ni de mon âme.
Je n'oublierai jamais la brûlure mordante de tes mensonges, alors que tu me regardais me détruire, remettant une pièce dans la machine chaque fois que je reprenais mon souffle. Si tu m'avais tuée, ce n'aurait pas été la pire chose que tu aies pu me faire. Maintenant j'ère, perdue, ne sachant plus qui je suis, me rapprochant petit à petit de ce monstre décrit dans tant de chansons. Je le comprends. Oui, tuer la personne que vous aimez n'est pas la pire chose que vous puissiez lui faire, et c'est grâce à toi, qui ne m'a jamais aimée, que je l'ai appris.

L'hiver me manque, à mesure que mon corps prend la couleur et la température de ce cadavre adoré. Si j'avais pu te tuer pour expier tes crimes, je l'aurais fait. J'aurais dévorer ton coeur et ton cerveau, comme les cultures antiques, pour que tu vives toujours en moi, que jamais tu n'obtiennes le pardon. Te maudire à jamais.

A mesure que je reprends confiance en mon corps, que les compliments glissent sur mon visage comme des larmes acides, la colère monte. Quelqu'un comme toi n'a pas le droit d'exister, et quelqu'un comme moi n'aurait jamais du s'enchaîner à de telles tortures.

Je suis l'alpha et l'oméga, et je te ferai payer ton sadisme. L'épée de Damoclès vibre au dessus de ta tête. Un jour, elle tombera, déchirant ton crâne, faisant voler des éclats de ton cerveau tout autour de toi, écrasant ton corps, et je serai la pour photographier cet événement, bénissant les dieux de la discorde du malheur s'abattant sur toi.

Tu as volé mon humanité, tu as détruit toute ma compassion, et arraché de mon corps le peu de bon qui existait dans mon coeur. Tu dis avoir souffert, mais tu tirais les ficelles depuis le début, riant d'une candeur qui t'excitait.

"Mon regard s'est figé, un pâle sourire camoufle la fureur qui bout en moi"
Benighted

Si je ne me supporte plus dans le miroir, je ne comprends pas pourquoi toi tu peux encore t'admirer. Tu as fait de moi le monstre que tu décrivais, insensible, obéissant à ses pulsions, froid. Je suis froide, et seule la chaleur de ton sang pourrait réchauffer mes veines vides de vie. Si je souris, si je dis que je vais mieux, je ne fais que plaquer un masque sur mon visage, pour voiler le fait que celui de ma raison à volé en éclat. Mon coeur ne bat plus que par intermittence, poussé par la rage, mon foie ne produit de la bile que pour la vomir à tes pieds, mes larmes ne sont qu'un acide destiné à désintégrer lentement ta vie dans le feu de l'Enfer. Tu pourriras à mes cotés, tué par ta propre main, par le monstre que tu as façonné par un vil amour menteur.

Mes désirs ne sont plus sexuels, mais ils sont féconds et barbares. Je n'aurai de cesse de voir tes larmes brûler ton visage, le creuser, le détruire, jusqu'à ce que tes yeux fondent en une bouillie malodorante que je ramasserais pour me l'approprier. Ta souffrance est mienne, comme tu as fait naître celle qui me ronge. Ton coeur dégoulinera sous mes coups de dents, nourrissant et désaltérant à la fois. Mon visage peint de ta vie me rendra sûrement la mienne.

Doucement, je plonge dans la folie, plus vite que je ne me l'imaginais, dans une noirceur profonde et enveloppante, après avoir subit ta torture si longtemps. Je ne suis qu'une chienne qu'il faut traîner dans la boue, mais tu m'y rejoindras.

Je brûlerai mes cheveux, arracherai mes dents, me crêverai les yeux, mais j'irai jusqu'au bout s'il s'agit de maudire ton destin et ta descendance. Les enfants que nous n'aurons pas ensemble payeront pour tes crimes.
Je n'ai plus de discernement.

"Il n'y aura que la peur.... Les larmes brûlantes rampant sur mon visage."
Benighted

La mort te serait encore une punition bien trop douce.
Ecrit par Lady M, à 21:30 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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Dimanche (17/08/14)
Lettre à Elise

Une lettre doit toujours commencer quelque part, et aujourd'hui, justement, je ne sais pas trop quels mots je devrais poser en premier.
Toi, tu es loin. Tu me connais. Tu sais ce que je ressens.

Oui, tu me connais, et pourtant tu restes avec moi. Comme dis Psykup "Tu connais mes impasses", et pourtant tu passes les saisons à mes cotés. Même en ce moment où je suis fatiguée et désagréable. Tu es là, même si dix, cent, mille kilomètres nous séparent. Tu restes, tu m'écoutes, tu me disputes, mais jamais tu ne disparais vraiment.

Notre relation, comme la Lettre à Elise est douce, parfois fougueuse, souvent tumultueuse. Mais elle est belle et c'est tout ce qui compte.

Alors encore une fois je te vole une étreinte. Un baiser. Toute ta nuit. Et toute ta vie si tu le veux bien.

A tort, pour toujours, mais à Toi surtout.

Ta boudeuse, ton indécise, ta passionnée.

Mahaut
Ecrit par Lady M, à 02:39 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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Vendredi (02/05/14)
Quoi qu'il en soit...

--> qu'il en soit ainsi...
Alors, tu m'as vraiment oubliée ? Quelques heures à peine t'ont suffies ?
Suis-je vraiment la seule à souffrir de ce vide qui se crée lentement dans le quotidien, quand tu n'es plus là pour le remplir ?

Tellement de questions restent sans réponse. Dans la nuit, il n'y a plus aucune lumière pour me guider, mais ce n'est pas le plus grave. Dans le vacarme des jours, un silence reste accroché à mes lèvres, mais ce n'est pas le plus grave.

''Plus rien n'a de sens depuis que tu es parti, j'essaye d'oublier, j'essaye d'effacer tout ce qui me fait penser à tous ces moments passés... Et quand c'est trop dense, je ferme les yeux pour ne rien laisser couler, pour ne rien laisser s'échapper... J'apprends la patience, j'apprends à me maîtriser...''
Zephyr 21

Moi, je... Moi, je.... Moi, je joue l'indifférente. Et C dit que c'est mieux pour nous deux. Qu'il vaut mieux que cela se passe ainsi. Parce que comme ça, on apprend à ne plus se faire de mal. Et elle a raison.

Je suis quand même en colère de ne pas t'avoir dit au revoir comme il se doit.

''Ne crains rien de moi je ne troublerais pas ton bonheur qui commence où finie ma joie...
Si une heure un soir, on pouvait se revoir... Je dis des mots stupides et vides d'espoir : il faut me pardonner, je ne me suis pas encore habituée.''
Mes regrets

Oui, c'est mieux pour tout le monde. Parce que je repars bientôt, et parce que ma nature (dégueulasse de sale petite garce qui ne recherche que la bite) me pousse à courir les bars en quête de personnes avec qui brûler quelques heures dans une étreinte charnelle.

Il n'y a que deux moments où les corps parlent d'eux-même : avec un(e) inconnu(e), et avec une personne que tu connais et aimes profondemment.

Et moi, je cherche ce moment grisant où les corps s'attirent, sans que le nom n'ait d'importance, en essayant d'oublier que ce corps contre moi n'est pas toi, ni le fantôme dans lequel j'aspire à me perdre et à prendre un peu de repos.

À tort, à jamais, à Toi encore...
Ecrit par Lady M, à 11:24 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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Lundi (24/03/14)
La haine, encore et toujours

PNJ
si tu n'arrives pas à le comprendre [Pourquoi il m'en veut] alors que je te l'ai expliqué par sms, c'est que tu es trop débile et trop déphasée.
T'as joué à la conne, tu m'as fait un gros coup de pute, tu peux crever.
10:36
Cherche plus à venir t'expliquer avec moi, je te considère maintenant comme la meuf la plus abjecte et la plus dégueulasse du monde, qui ne pense qu'à la bite et à jouer la comédie pour atteindre ses buts .
Tu n'es qu'une chieuse, une manipulatrice, et tu as un problème , de ce fait la seule personne à laquelle tu devrais t'adresser, c'est un psy.
Va te faire foutre.
11:17
et puis d'ailleurs comment tu sais que j'ai passé une "bonne soirée" avec C ? Tu lui as parlé parce que t'as son numéro, en vue de le baiser de nouveau, espèce de garce ?
Tu peux te taper n'importe quelle épave qui te refilera je ne sais quelle MST qui te tuera à petit feu, mais tu ne touches plus à mes amis, à mes connaissances, aux gens plus ou moins proches de moi, sinon je te jure que je te le ferai payer


Lili
Etant donné que tu n'as plus de sentiments pour moi, non, je ne comprends pas. Ce n'est pas un coup de pute ce que je t'ai fait, puisque nous ne sommes pas liés sentimentalement. Ce n'est pas comme si je t'avais promis ma vie ou ma fidélité après notre rupture, PNJ.
Oui, j'ai son numéro. Pas en vue de le "baiser de nouveau", mais parce que sa conversation m'a plu, que nous avons des points communs et que je m'entends bien avec. Tu as bien du le remarquer vendredi.
Tu ne peux pas me donner d'ordre, au même titre que moi je ne peux pas t'en donner. Ce n'est pas comme si je l'avais violé, et ce qu'on a fait ne te regarde pas, comme mes actions futures à ce niveau.
Tu m'en veux parce que tu m'as présentée un de tes potes, et qu'on s'est bien entendu ? Ta raison n'est pas valable. Si tu ne voulais pas que ça arrive, tu aurais pu soit m'en parler, soit me raccompagner comme c'était prévu. Et de toute façon ça ne change rien pour vous.
Ou alors, tu m'en veux parce que je t'ai parlé des sentiments que j'ai encore pour toi ? Et bien, désolée, oublies ça. De toute façon, tu as une petite amie, qui je n'en doute pas est merveilleuse, alors pourquoi te préoccuper de ça ?
Je pensais que tu serais heureux que j'avance et que je t'oublies un peu, puisque c'est ce que tu me demandes de faire depuis un mois.
Tu me traites comme si je t'avais trompé. Mais ce n'est pas le cas. Alors essayes de te calmer un peu.

Ecrit par Lady M, à 13:05 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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Dimanche (23/03/14)
Wrath

Il parait que je ne dois pas te répondre, que c'est dangereux, mais j'en crève d'envie. Reprenons depuis le début :

"Putain que je te déteste" 11.22
La colère. Je n'ai rien à répondre à ta colère, si ce n'est que je la ressens aussi.

"J'ai fait des efforts pour te reparler et pour qu'on soit amis et c'est comme ça que tu me le rends..." 11.25
On a pas mal bu. On a couché ensemble. Les deux soirées sont les mêmes. Moi aussi, j'ai fait des efforts. Oh, et coucher avec moi, et me dire ensuite que tu es en couple, que tu regrettes et que je te dégoûte ce n'est pas "faire des efforts".

"En fait, c'est ta vengeance c'est ça ? Un juste retour des choses, je t'ai quitté et fait souffrir, du coup tu me fais ça...
Et bien bravo, ça marche putainement bien, t'es très douée dans ton genre pour en foutre plein la gueule. Déjà quand on sortait ensemble c'était flagrant, là, c'est carrément de l'art, tu peux être fière
" 12.04
Non. Moi, je ne me venge pas. Je ne ressens pas ce besoin. Oui, je suis en colère, pour sûr. Oui, je t'en veux. Pour sûr. Mais il se trouve que j'ai terminé la soirée avec ce mec uniquement parce qu'il me plaisait, et que ça avait l'air assez réciproque. Tu étais parti en lui laissant le soin de me raccompagner. Le fait est qu'il l'a fait. Quand deux adultes se plaisent autant dès les premiers mots, qu'on les laisse seuls alors qu'ils sont alcoolisés, la fin est plus que prévisible.

"Bon, j'arrive pas à me calmer, du coup je t'en remets une couche : Tu es la meuf la plus horrible et dégueulasse du point du vue du comportement que j'ai jamais rencontré, je devrais avoir une reconnaissance particulière de la part des dieux pour t'avoir supporté pendant près de cinq mois" 14.43
Je n'ai rien à dire face à tant de bassesse.

"T'as complètement joué avec mes sentiments hier soir, tu m'as fait une scène mélodramatique avec les larmes et les tremblements, les mots doux et les petites phrases, tu m'as même fait baisser ma garde, petit à petit, mon coeur s'ouvrait, un peu.
Et toi, tu baises mon pote, mettant à sac tous les délires que j'avais avec lui, tu détruits tout ce que tu touches et tu joues avec ça. Si par malheur on était amenés à se recroiser, t'as intérêt à baisser les yeux, tracer ta route et ne pas oser croiser mon regard, sinon je serais capable de t'aplatir la face contre un mur.
Quand on s'est quittés, et que je t'ai comparée à Satan ou à son engeance, c'est putainement insultant pour Satan vu tout le mal que tu es capable de faire à un seul homme.
" 15.50
Le dernier, mais pas des moindres. Jouer avec tes sentiments ? J'apprends donc que tu en as encore. Il se trouve qu'une demi heure avant, à peine, tu m'avais fait part de ta nouvelle conquête. Tu m'as dit qu'on "est juste des potes maintenant". Je n'avais aucune idée de possibles sentiments. D'où le fait que je t'ai exposé les miens sans retenue, et sincèrement. Je t'ai dit que vivre ton absence est quelque chose d'horrible. Lis ces derniers jours, et fais ton propre jugement quant à mon jeu. Les larmes, les mots doux... Tout ça, malgré ma formation de théâtre, j'en suis incapable sur scène. Je mets les tremblements sur le compte du stress et du froid. Je tremblais depuis longtemps, et j'ai continué longtemps. Tu sais bien que je suis malade de Reynauld.
Je "baise [ton] pote". Il se trouve que, pratiquement parlant, c'est lui qui m'a prise. Il se trouve aussi qu'il était aussi consentant que moi. Je ne mets rien "à sac". J'ai couché, ivre, avec un homme qui m'a plu. A qui je plaisais aussi. Il t'aime toujours, je crois, et ne pense sûrement pas à tout mettre à sac. Mais tu as sans doutes cette réponse. Si par malheur on se recroise, j'ose espérer que ce ne sera pas devant MON lycée. Pas comme ces derniers temps. Qui de nous deux a le plus menti à l'autre ? Je passe sur les menaces. Et sur les basses insultes.

Moi, je n'ai pas peur. Je conclurai juste avec Slut de Benighted et un peu de Eths.
"Tu n'es pas mieux que moi, si c'est ton jeu détruis moi".

Ecrit par Lady M, à 22:48 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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Jeudi (13/03/14)
Non je ne craquerai pas

Cher absent.

Ce nom te va si bien. J'ai besoin de ton absence. Je t'ai tellement regardé que j'ai oublié ton visage. Je ne sais plus. Maintenant, tu es, comme la plupart des autres, une ombre blonde dans mes souvenirs.
J'ai besoin de ton absence, parce qu'alors, tu  n'existes que pour moi. Tu grandis en mon sein, comme la douleur. Je t'aime tellement que je t'en hais.

"Tu es à moi.
-Oui.
-Dis le. Dis que tu m'appartiens.
-... Je suis à toi..."

Quand tu me réponds, quand tu es devant le lycée, tu te remets à exister, et je me souviens que tout ça n'a pas été un rêve de ma part. Tu me disais ça, en me prenant avec violence sur ton lit. L'expression du mâle. Dans un sursaut d'animalité, tu me prenais en me demandant de dire des choses typiquement humaines. Je t'en veux tellement que je te pardonne.

Ton existence m'insupporte. J'aurai préféré t'inventer. Non. Je me mens à moi même.

Je préférerais que tu ne rejettes pas mon amitié, après m'avoir proposé la tienne.

A tort. A jamais. A toi, toujours.
Ecrit par Lady M, à 15:34 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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Vendredi (07/03/14)
Évidemment tu l'aimes encore

J'écoute la chanson qui a signé notre début. Au moins dans mon cœur. En y repensant, et cela me donne autant envie de rire que de pleurer, son titre aussi montrait que nous finirions mal. "Nous", quel mot étrange.

Je t'écris ici, parce que je ne veux pas que tu me haïsse. J'écris ici parce que je ne veux pas être effacée.
Bien sûr que je t'aime encore. Ce n'est pas parce que je me relève, que je dis que j'ai fini de pleurer le petit ami que... Bien sûr que tout n'est pas effacé. La croûte est juste assez épaisse pour que le sang ne coule plus, mais au moindre choc, à la moindre égratignure, au moindre contact, des torrents de larmes et de sang coagulé sont prêts à s'échapper. Je ne suis pas assez forte. Devrais-je m'en excuser ? Est-ce que je n'ai pas passé trop de temps à le faire, en vain ?

J'ai peur tu sais. Je crois que je n'ai jamais eu aussi peur de la solitude. Avant, elle était en elle-même un compagnon agréable que j'aimais retrouver de temps en temps. Mais parfois, je me réveille la nuit, affolée. Je ne sais pas ce que je vais faire pour mon anniversaire. Tu sais, on devait le passer ensemble. Tu avais... Non, pas promis, mais presque. Tu as dit longtemps que je pourrais venir. Mais maintenant je ne suis sûre de rien. Je ne sais pas, comment, pourquoi ?
Et puis...

Et puis... Le Hellfest. J'ai peur. Peur que tu ne veuilles plus m'emmener. Je n'arrive pas à trouver d'autres personnes pour y aller. Je n'arrive pas à trouver de tente à emprunter pour ce week-end là. Je n'arrive pas à savoir comment je vais m'organiser. Ça semble loin, quand même. Et si proche. J'ai si peur. Je me dis que tu vas m'oublier. Je sais que tu regrettes. Que tu commences à regretter. Que peut être, tu n'as plus env... Que... Tu ne veux plus... Et moi, j'ai peur. C'est mon putain de cadeau d'anniversaire quand même. Je devrais... Je ne devrais pas avoir peur. Je devrais être enjouée à l'idée d'y aller. Alors pourquoi j'ai si peur ? Pourquoi, rien que d'en parler, ça me fait pleurer ? Toi, tu es là, quelque part, silencieux, tu ne dis rien, tu me laisses douter, et quand je pose des questions, que j'essaye de comprendre, tu dis que tu me hais un peu plus à chaque mot, et dans ma tête, je revois le moment où tu as dit "Parfois, je pense que tu es l'incarnation de Satan".

Ton silence m'inquiète. Je le hais ce silence. Il me coupe le souffle.

Je n'ai plus d'énergie. Un seul mot. Juste pour savoir si tu vas bien.. Parce que je veux toujours le meilleur pour toi.

Ah... Oui... C'est vrai. Je ne dois plus avoir l'air d'être tourmentée par ton absence.

A tort. A jamais. A toi, sûrement.

Lilith
Ecrit par Lady M, à 18:58 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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Lundi (17/06/13)
Le orange est désormais une couleur ambiguë

Une couleur ambiguë oui. Comment peut-on être si chaleureux et si glacial ? 
Je me demande à laquelle des deux extrémités je me trouve.
Bon dieu, comme tu es froid quand tu me fais pénétrer dans ton lit. Comme tu es gentil quand mes larmes s'accumulent.
Tes bras m'ont fait un bien fou, tu sais ?

"Qu'est ce que tu fais ?
-J'écris.
-Ha...
-Quoi ?
-Si tu écris, c'est que tu vas mal."


Oui, mais la, j'en ai besoin. Autant que d'entourer mon corps de mes propres bras, pour me laisser aller aux sanglots, au dégoût de moi et à la honte.

[Elle] a les yeux qui flottent
Accrochée au bar
Ce soir elle ouvre enfin la porte...
On la rêve tous différente
Mais elle connaît son personnage
Qu'elle guide de manière élégante
Entre deux verres au passage.
Faut-il qu'elle boive pour penser vrai
Quelques verres de mauvais vin ?
Faut-il qu'elle boive pour qu'on la voit
Se révéler enfin ?
Mais tu parles trop...
T'en fais toujours trop...


Aldebert
Ecrit par Lady M, à 22:12 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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Mercredi (10/08/11)
Je n'ai pas vraiment envie d'écrire

Parce que tu sais, il y a des gens qui m'ont jetée aux égouts il y a deux mois, et qui se plaignent du fait que je ne désire pas reprendre contact. Parce que, je suis fatiguée à ne rien faire d'autre qu'espérer.

J'aimerai dormir sans avoir à faire jouer mes doigts sur mon sexe pour me soulager de ces mots. J'aimerai dormir sans rêver de lui.
Il est partit. 

Et je vais enchaîner les bivouacs, je suis fatiguée de ces courtes nuits, et je suis dans le journal section "zombies" et je ne sais plus quoi penser.

Alors, tu sais, moi, je voudrai juste pleurer très fort sur ton épaule, y laisser une trace mouillée de larmes et de mucus, et puis tomber dans des abîmes trop profondes pour moi.

Jusqu'à me noyer dans sa voix et ses yeux de tourbe.

A tort, à jamais, à Toi bien sûr.
Ecrit par Lady M, à 22:01 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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Vendredi (05/08/11)
Pelot

Si je pouvais vous écrire une musique, ce serait celle de Pelot D'hennebont.

Il y a un papillon qui vole dans le jardin, et c'est beau, cette blancheur sous le ciel gris et pluvieux.

Moi, je pars. Les tranchées m'appellent.

Bien à tous ceux que j'aime

Le Petit Boum
Ecrit par Lady M, à 17:21 dans la rubrique "Lettres et Billets d'Amitié".
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