Tu te souviens comme je t'ai fait soufrir, et maintenant, tu te venges...
Ho, oui, tu te souviens, mieux que ma mémoire, tu te souviens comme c'etait horrible. Tout ces cachets que je t'ai obligé à avaler, et cette eau salée, trop salée que je t'ai fait ingurgiter, avant de t'obliger à vomir. Tu t'en souviens, et encore mieux des horribles vomissements qui ont suivis. Tu te souviens aussi de la nuit que tu as cru ne jamais passer, et surtout, ho oui, surtout tu te souviens comme tu étais malade ensuite. J'ai envie de m'excuser mais en fait non. Quelle reaction tu as eu ce matin, quand j'ai sorti ce doliprane, et que je te l'ai donner. Tu as faillit me vomir dessus. Oui, les petits cachets, les 32 cachets que je t'ai obliger à prendre, c'était des dolipranes. Comme tu avais été mal ensuite ! Tu étais tellement ailleurs, que pour te guerir du mal qui te prenait de partout, tu as re-avaler 2 autres petits cachets. Et ta tête tournait, et ton corps semblait lourd, tu t'es couchée, et puis tu as fermer les yeux. Et tu les a ré-ouvert pour vomir, encore et encore. Le médecin n'a jamais su, et tes parents encore moins, que je t'avais forcé à prendre tant de cachets. Je voulais que tu t'arrêtes complètement, que tu me supplie, je voulais te voir te tordre de douleur, et vomir...Et vomir. Tu t'étais habillée si joliment ce jour la. Un T-shirt blanc recouvrait tes formes, et une jupe kaki virevoltait avec grace autour de tes hanches. J'aurais presque voulu de toi. Mais c'etait tellement bien de te torturer, de te voir vomir, et boire cette eau, tellement salée, et je t'obligeais à continuer, et tu pleurais, tu pleurais tellement.
Mettez moi en prison pour ce que j'ai fait à ton corps gracile, ou plutot, non, enfermez moi derriere des murs blanc, avec une jolie camisole de force. Mais, Dieu, que tu étais belle, ainsi souffrante, comme je t'aimais pour ce que je croyais être ta derniere fois, comme je me rejouissait de ta mort, si proche, que tu n'as pas accepter. Oui, quand tu vomissais cette mousse blanche, mousse de medicaments déjà digérés, tu étais magnifique, et tes yeux rouges qui pleuraient encore et encore, je t'aimais.
Excuse moi, je ne recommencerais plus, le doliprane, pour nous c'est fini, mais j'ai adorer ta reaction, ton haut-le-coeur à peine visible, en voyant d'abord ce cachet, et ensuite cette eau. Tu as eu peur, avoue !
Mais ta journée c'est bien passée, tu n'as pas eu mal à la jambe apres ce medicament, alors remerci moi.
Ce soir, promis, je te mutilerais, puisque tu seras seule chez toi. Enfin, si je vais bien, non, mais je me sent un peu triste, alors je vais te decouper. Je t'aime tellement quand tu souffre, quand tu te sent sale. Alors ce soir, je pense que je te maturberais aussi, j'aime tellement quand tu joui...J'aime tellement de torturer...
Mon petit pantin...
(Si quelqu'un pige de qui je parle, chapeau ! Au pire, je pense que je le dirais plus tard)
à 18:00