J'ai eu envie de t'écrire la vérité. Tu ne me croiras pas, tant pis.
La vérité, c'est que j'ai mal, dés que son nom est prononcé. Oui, j'ai mal à en crever. Et personne ne comprends. Pourquoi ?
Mais, parce que, personne n'était la à notre rencontre, personne à nos 1ers mots, personne à nôtre 1er "(papa)", personne à notre première enlaçade, personne le 21 Juin.
Non, personne n'as vu, tout le monde juge, et je vais te dire, très cher Quelqu'un, la vérité ne leur appartient pas, et ne leur appartiendras jamais. Elle est à moi, tout comme ces douloureux souvenirs.
Mais ils décident à ma place, m'arrachent doucement, violemment le coeur. Ce coeur qui ne bat plus beaucoup déjà.
Et ils créent mon poison, qui s'accumule dans ma gorge. Un jour, peut-être, il sortira et les tueras. Sauf M. Parce qu'elle me croit. Et le seul que je regretterais, pense à tort que je me fous de lui.
Je parle pour ne rien dire, excuse moi.
Tu sais leurs mots me font mal, comme leurs pensées, et je meures doucement sans qu'ils ne sachent.
Je vais te laisser.
Bien à toi, cher Quelqu'un.
Ta dévouée, ta chère, ta pathétique
Ps : Ses beaux yeux glacés sont verts, et ses doux cheveux dorés. Et je ne l'Aime pas. Je l'aime bien seulement.
A tort. A jamais. A Toi, Quelqu'un.