Ne jamais écrire sous la colère.
HATRED
Arrêtes. Arrêtes de toucher mon corps, même s'il vient de toi. Mes origines me dégoutent à présent. Je ne voudrais que nos morts. Si douces, si proches, allons, tue celle qui aurait du être ton enfant, étouffes la dans tes attentions dégoutantes. Étrangles la de ton bon sens ironique.
Mes amis ne sont pas déséquilibrés, parce que je suis pire qu'eux tous réunis. Mes amis ! Tu ne l'es à même jamais rencontré ! Comment peux tu juger sur des mots , sur des délires adolescents ?
Et, trouves moi ridicule si tu le souhaites, mais sans ce bout de tissu, je ne survivrais pas à tes mots. J'ai besoin de ça. Rien n'est exagéré, tout est pensé.
Les petites billes de poison sucré coulent le long de ma gorge. Oh, oui, emmènes moi chez le médecin, dit lui, explique lui ce que je suis. Regarde, regarde quelle sorte de monstre tu as enfanté, regarde l'horreur que tes gènes m'ont transmis.
Et toi, quand ta folie se déclenchera-t-elle ?
à 21:11