Version «soft» :
Il testait leurs limites. Cela faisait
plus d'une demi-heure qu'il se disputait avec la jeune femme.
Elle avait trente-deux ans, la taille
fine, les cheveux longs, blonds et ondulés, les yeux de la couleur
de l'océan qui avaient à cet instant une teinte orageuse. Elle
serrait ses douces lèvres, énervée par ce jeune rebelle de dix
sept ans. Les cheveux longs, keffieh et veste kaki, il était une
parfaite reproduction de Kurt Cobain.
A bout de souffle, à bout d'arguments,
les larmes aux yeux, elle le gifla sans ménagement. Ils restèrent
stoïques à se regarder quelques secondes, avant qu'il ne la gifle à
son tour. Scandalisée, elle éclata en sanglots, lui faisant
regretter immédiatement son geste. Il avait trouvé le seuil à ne
pas franchir maintenant. Il se rapprocha d'elle, la serra dans ses
bras en lui chuchotant des excuses : les larmes de la jeune femme
l'attristait, et, malgré leur quinze ans d'écart, elle était bien
plus faible que lui. Lui qui, d'ailleurs, avait gâché la jolie vie
qu'elle aurait pu avoir.
Il approcha ses lèvres de celles de la
demoiselle, et l'embrassa tendrement en guise d'excuses. Il caressa
du bout de la langue les contours de la bouche contre la sienne. Le
baiser était tendre, bien qu'ils fussent encore énervés. Mais lui
voulait profiter, avant qu'elle ne se rende compte de la situation.
Il caressa ses hanches, détacha ses lèvres des siennes. Il ne
devait pas aller plus loin, pas avec elle. Après tout, c'était sa
mère.
Version «hard» :
Il testait leurs limites. Cela faisait
plus d'une demi-heure qu'il se disputait avec la jeune femme.
Elle avait trente-deux ans, la taille
fine, les cheveux longs, blonds et ondulés, les yeux de la couleur
de l'océan qui avaient à cet instant une teinte orageuse. Elle
serrait ses douces lèvres, énervée par ce jeune rebelle de dix
sept ans. Les cheveux longs, keffieh et veste kaki, il était une
parfaite reproduction de Kurt Cobain.
A bout de souffle, à bout d'arguments,
les larmes aux yeux, elle le gifla sans ménagement. Ils restèrent
stoïques à se regarder quelques secondes, avant qu'il ne la gifle à
son tour. Scandalisée, elle éclata en sanglots, lui faisant
regretter immédiatement son geste. Il avait trouvé le seuil à ne
pas franchir maintenant. Il se rapprocha d'elle, la serra dans ses
bras en lui chuchotant des excuses : les larmes de la jeune femme
l'attristait, et, malgré leur quinze ans d'écart, elle était bien
plus faible que lui. Lui qui, d'ailleurs, avait gâché la jolie vie
qu'elle aurait pu avoir.
Il approcha ses lèvres de celles de la
demoiselle, et l'embrassa tendrement en guise d'excuses. Il caressa
du bout de la langue les contours de la bouche contre la sienne. Le
baiser était tendre, bien qu'ils fussent encore énervés. Mais lui
voulait profiter, avant qu'elle ne se rende compte de la situation.
Il caressa ses hanches, passa sa main droite sous son T-shirt, et
caressa son ventre. Elle gémit doucement, et passa ses mains dans le
cou de l'adolescent. Il la porta jusqu'à sa chambre, ouvrant la
porte d'un coup de pied sonore. Avisant le lit deux place de la jeune
personne, il la déposa délicatement dessus, avant de s'allonger sur
son corps chaud et doux. Prenant les devants, elle fit glisser sa
veste au sol, tira le T-shirt trop grand qui recouvrait le torse
musclé du presqu'homme au dessus d'elle, et déboutonna son
pantalon. Étonné, il lui fallut quelques secondes avant de
déshabiller à son tour la jolie femme qu'il maintenait sous son
poids. En moins d'une minute, elle se retrouva en sous-vêtements, en
train de masturber l'adorable jeune homme, tandis qu'il l'embrassait
fougueusement, en laissant sa main droite caresser les courbes du
corps parfait.
Quelques instants plus tard, il lui
écartait doucement les jambes, et déposait des baisers sur son
ventre brûlant. Ils se regardèrent un long moments, fous de désir,
cherchant à savoir si ce qu'ils faisaient était bien ou mal. Optant
tout deux pour le bien, il pénétra lentement les douces chairs
chaudes de l'adulte.
Il entama de lents mouvements de
va-et-viens, caressant toujours le corps sous lui. La jeune femme
soupirait sous lui, fermant les yeux sous l'ampleur du plaisir qu'il
lui donnait. Il était fier, fier de faire l'amour à cette jolie
femme qui faisait se retourner les hommes sur son passage dans la
rue, fier de pouvoir lui dire je t'aime, fier de la double
représentation qu'il avait pour elle.
La vue de cette demoiselle, accumulée
au plaisir des mouvements commençaient à lui faire perdre la tête.
Lorsque les chairs de l'adorable adulte se rétractèrent sur son
pénis, signe qu'elle jouissait, il ne put se retenir. Il joui en
même temps qu'elle, les doigts perdus dans les longs cheveux blonds
éparpillés sur l'oreiller.
Il s'allongea à ses côtés, conscient
qu'ils avaient commis une erreur. Il décida de se rhabiller et de
sortir avant d'être jeté dehors. En sortant, il soupira de bonheur
et de déception. Après tout, il n'avait pas fait l'amour à une
simple femme. Il pleura en pensant qu'il ne pourrait pas l'appeler
«ma chérie» maintenant, mais qu'il devrait toujours dire «maman».
Love is dead