Aujourd'hui j'ai été heureuse. Pour aucune raison. Citait mon jour.
Berenger, les cours qui se passent bien, le vent et la pluie delicieuse, avec les flaques qui vont avec...
Avis de tempete, alerte orange. Depuis ce matin il pleut avec un vent mega fort. Le bonheur a portée de main, c'est ca.
A midi, on a expedier le repas en 5 minutes, puis, avec Lucile, on est aller sauter dans les flaques. Ont eté quasi seules dehors et non-abritées. Nos eclats de rire s'entendaient partout. Notre bonheur resonnait.
3heures de cours, histoire d'abord, puis musique, avec le pantalon et les chausettes aussi mouillés qu'une mare. Et puis, l'allemand. Chausettes toujours floc-flocantes, pantalon degoulinant, mais cheveux enfin secs, et...Berenger. La, dans le rang, il se rend aussi en Allemand. Mais il va pas a la table des collés. Donc, ci pas une colle. Je l'observe, j'ose pas parler, peur de l'erreur, peur de me taper la honte. David raconte nawak', je lui glisse un rapide "T'va voir tes couilles" avant de reprendre mon exercice. Et puis, la fin du cours. Enfin. Deja. David se barre lachement. Je descend rageusement, je boude en disant au revoir a tout le monde. Berenger...Je remet mes cles dans ma poche apres avoir embrasser Dam', et je voit que Berenger est la. Il m'embrasse. Puis, il reste un peu. Un leger calin. Sous une demi pluie, avec un vent fort. Il a cette facon d'entourer ma tête avec son bras. Delicieuse. Alors je plane en me rangeant pour prendre le bus. Je prend jamais le bus, mais bon. Aujourd'hui, j'avais prevenu papa, et maman etait a la maison, pour si le car passait pas a cause de l'avis de tempete.
Dans le bus, la joie qui ne m'as pas quitter de la journée s'en va. Comme les jolies frisouilles que m'avaient donner la pluie. Zut. Arret devant l'ecole de mon village. Une petite classe unique. Deja, je ne la voit plus, je presse le pas, floc-floquant sous la pluie et face au vent. Ma triste humeur est revenue.
A la maison, je finit de floc-floquer, balance mes chaussures dans le placard, mange du chocolat, me lave les cheveux et cours m'enfermer dans ma chambre. Le velux, assaillit par la pluie et le vent, fait un bruit assourdissant. Et puis, je m'oublie. La journée repasse dans ma tête dans tout ses jolis
(et moins jolis) details.
Mes cheveux degoulinent encore, d'une belle eau qui sent bon. Une eau que j'ai sallit avant de la faire disparaitre dans les egouts. Cette eau qui reviendra. Comme mes eclats de rire. Vivement la prochaine journée de bonheur !
J'AIME SOURIRE !!!!! COMMENT AI-JE PUT SEULEMENT L'OUBLIER ??? CI GENIAL, MON RIRE EST MAGNIFIQUEMENT ENFANTIN ! =)
Sinon, je cherche mes vrais amis, juste pour savoir qui sera la le moment venu. Mais ceci est une autre histoire.
Encore sinon, la nouvelle est arrivée ici
Bonne lecture, bonne soirée, bonne tout ce que vous voulez...
Et vive les tempetes !
Je suis juste un peu en manque...
Mais je vais tenir jusqu'a demain
(j'espere)
à 20:27