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Love me, Take me, Betray me, Leave me

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Et ces mains blanches qui parcouraient mon corps...

--> Et voila, comme promis, la nouvelle porno... Vous êtes pas obligés de lire /!\
/!\ Porno /!\

    J'avais fantasmé sur elle des milliers de fois. Je l'avais regardé avec amour des milliards de fois. Et maintenant elle se trouvait devant moi. Belle, magnifique même, habillée comme n'importe qu'elle fille dont les parents sont invités chez des collègues. Ses bas blancs rayaient noirs, sa jupe courte noire et sertie de croix, son pull au col en V et aux manches extra larges noir lui aussi, sans oublier les accessoires, faisaient d'elle une gothique magnifique. Elle me fit la bise, comme d'habitude, le matin au collège. Son sourire m'émeut. Cette petite portion de ténèbres était resplendissante.

    Une fois les conventions faites, je lui proposa d'aller dans ma chambre. Elle accepta d'un signe de tête et me suivit dans l'escalier qui menait à l'étage et aux chambres à coucher. Elle me demanda si on pouvait mettre de la musique. Je lui désigna une étagère ou reposaient des tas de CD's de métal. Elle en choisit un de Psykup, le Temps de la Réflexion, ce qui m'étonna :

    « Tu connais ça toi ?

-Oui, c'est mon frère qui m'as fait découvrir. Ils sont géniaux, tu trouves pas ? J'adore leur style fou-fou...

-Ouais... On dirait de l'impro', mais ils savent parfaitement ce qu'ils font...

-Attends, met pas aussi fort, on pourra pas discuter ! »

    Je baissais le son et m'assis a coté d'elle, sur mon lit. Les premières notes de To be (tray) résonnèrent et nous commençâmes a discuter. Vers 21 heures, mes parents nous appelèrent pour manger. Nous descendîmes et nous mîmes à table. Je vis avec déception que les rumeurs sur son anorexie étaient bien fondées. Elle toucha a peine au repas et s'en excusa, prétextant un manque de faim. Ses parents et les miens semblèrent la croire et cela me mit encore plus en colère. Après manger, tandis que les adultes discutaient, nous remontâmes dans ma chambre et recommençâmes à discuter en regardant par la fenêtre les flocons de neige qui tombaient fortement depuis cinq bonnes heures. Je lui parlai de son anorexie, lui posant des questions. Elle me répondit qu'elle était tombée dedans à cause de son frère qui la traitait de grosse vache, alors qu'elle était très maigre. Elle avait arrêter de manger pour qu'il cesse ses moqueries, et lorsqu'elle fut dans la maladie, elle reçut l'amer déception de la multiplication des mauvaises paroles. Elle déclara alors qu'elle ne ferait plus jamais confiance aux adultes. Il commençait à se faire tard et elle posa sa tête contre mon épaules. Je rougit violemment. Ce bout de femme était vraiment magnifique. Ces longs cheveux bruns ondulés légèrement en retombant sur ses frêles épaules. Ses yeux couleur chocolats brillaient souvent de tristesse, et sa bouche faisait plus souvent de faux sourires que de beaux sourires de joie. Elle ne me l'avait jamais dit, mais je le sentait. Je savais que moi seul, et une de ses ex-petite amie étions au courant. Sa position me laissait une vue totalement « Waw » sur son décolleté. Je tachais de ne pas montrer le désir qui montait en moi, quand je sentis sa tête tomber de mon épaule à mes genoux.

    « Et merde... J'vais bander et ça va la réveiller, et je passerais pour un obsédé...Mais j'en suis un...Raaaaa, pourquoi elle s'est endormie ?... Ho,elle est so cute...»

    Je me laissais portais par le courant, je lui caressais délicatement les cheveux quand, dans son sommeil elle murmura

« Beranger, je t'aime »

    Je fus surpris d'entendre mon nom, et surtout, d'entendre le « je t'aime ». Après tout, les rêves ne disent ils pas la vérité ? Et n'expriment-ils pas les véritables désirs de la personne qui rêve ? Elle bougea un peu, et se releva d'un coup. Je lui demandais ce qui se passait. Elle me répondit qu'elle avait entendue sa propre voix. Elle me demanda si elle avait dit quelque chose. Je répondis à la forme négative. Elle me dit que c'était tant mieux, et m'expliqua que les sentiments qu'elle cachait ressortaient souvent la nuit lors de ses rêves. Je rougit et lui murmura qu'elle avait dit je t'aime. En deux secondes nous fûmes comme deux pivoines, totalement rouges et muets. Elle me demanda ce que j'en pensais. Je respirai un grand coup, avant de lui avouer que je l'aimais. Elle rougit encore plus. Je risquais mes lèvres vers les siennes, mais je n'avais aucune inquiétudes à avoir car elle approfondi elle même le baiser. Je prit sa taille fine entre mes bras, pour être toujours plus prêt d'elle. Elle agrippa mon T-shirt et mit fin au baiser, se blottissant contre moi. Elle murmura que c'était merveilleux ce qui lui arrivait, et elle commença à pleurer de bonheur. Je la serrai contre moi en la berçant un peu. Quand elle fut calmée, nous descendîmes voir nos parents. Ceux ci nous dirent que nos invités passeraient la nuit à la maison, en effet, la neige bloquait tout et c'était du suicide que de se risquer dehors. Je regardai la belle demoiselle et nos regards se croisèrent ; des regards victorieux et jubilants. Ma mère demanda à mon amante si cela la gênait de dormir avec moi. Il n'y avait pas d'autre endroits, et j'avais un lit double. La magnifique demoiselle dit qu'il n'y avait aucun problèmes.    

    Nous montâmes dans ma chambre ou je lui prêtait un T-shirt long et un short pour qu'elle puisse dormir avec aisance. Quoi que, au fond de moi, j'espérais qu'on ne dormirais pas tant que ça. Elle s'assit sur le lit, et me détailla. Mal à l'aise, j'enfilai moi aussi un T-shirt et un pantalon de nuit. Je sautai alors sur le lit, mais surtout sur elle. Elle éclata d'un beau rire cristallin. Moi sur elle, elle sous moi, nous commençâmes à nous embrasser. L'heure tardive dût jouer, car je commençai a lui caresser la cuisse. Je décollai mes lèvres des siennes et l'observai. Elle était un peu rouge, sans doutes a cause de l'emplacement de ma main, et dans ses yeux luisait l'envie.

    « S'il te plaît... Masturbe moi... Caresse moi avec tes mains si belles »

    Elle rougit fortement, mais s'exécuta. Ses mains se plaquèrent contre mon torse et commencèrent a me caresser, tout en descendant lentement. Je recommençai à l'embrasser langoureusement, en la caressant moi aussi. Nos gestes étaient maladroits mais nous faisaient du bien. Elle soupira lorsque mes mains passèrent sur sa poitrine. Lorsqu'elle passa dans mon boxer, un gémissement naquit dans ma gorge tandis que des frissons me parcouraient entièrement. Je sentais l'envie qui naissait dans mon entre-jambe, cette impression que tout ce qui passait sur mon corps et dans ma tête se regroupait la bas était aussi merveilleuse que le jeune demoiselle sous moi.

    «Toi aussi

-Quoi, moi aussi ?

-...Ma...Masturbe moi...

-Ho...tu me dit si je te fait mal ?

-Ui...Haaaa

-Ça va ?

-C'est trop bon...Continue, je t'en supplie»

    Je m'exécutai, tandis que nous nous faisions de bien mutuellement. Ses habits me dérangeaient, je décidai donc de lui enlever. Je commençai par le T-shirt qui était trop large, puis j'enlevai son short et pour finir, je lui arrachai sa culotte. Elle vira au rouge mais oublia instantanément sa gêne car elle atteignait l'orgasme. Elle arracha à son tour tout mes vêtements, et nous nous retrouvâmes nus.

    « Tu...tu veux aller jusqu'au bout ?

-Oui...mais...

-T'inquiètes, j'ai ce qu'il faut !

-Quoi ?!

-C'est mon cousin qui me l'a refiler...Tiens, regarde !

-Euh, ouais, ouais, c'est bon, merci... Tu sait le mettre au moins

-Chut, dis-je en l'embrassant, bien sur que je sait. »

    Le temps de mettre la chose et nous étions à nouveau en train de nous embrasser avec une passion dévorante. Je caressais ses cuisses de mes mains brûlantes. De façon douce, elle enserra mon bassin de ses longues jambes. Je décollai mon corps du sien, nos enveloppes charnelles brûlaient littéralement, et rien ne pouvait les éteindre. Plus maintenant. J'écartai ses jambes avec une extrême douceur, comme par peur de la casser. Puis, lentement, je rentrais en elle. Elle semblait avoir mal, mais me supplier de continuer. Alors je continuai a m'enfoncer, lentement, en profitant au maximum. Elle laissa échapper un gémissement de douleur, je la pris contre moi, la serra très fort et l'embrassa, en continuant à entrer. Du sang s'écoula de son entre-jambe. Effrayé, je m'arrêtai. Pourtant, elle me supplia de continuer. La peur au ventre, je fini de me nicher en elle. Elle se blottit dans mes bras en gémissant et en pleurant. Elle avait mal, cela se voyait, pourtant elle me demandait de continuer. Alors, très doucement, pour ne pas accentuer sa douleur, je commençai un va-et-viens, d'abord lent, puis, de plus en plus rapide. Nos lèvres ne se lâchaient plus, nos langues se cherchaient et se trouvaient avec délice, nos corps faisaient un, et, pour la première fois de notre vie, moi le métalleux et elle la gothique, nous étions heureux.

    Au bout de combien de temps, et pourquoi ? Je ne saurais le dire. Mais c'est ensemble que nous sommes arrivés au ciel. C'est ensemble que nous nous sommes endormis, et c'est dans les bras l'un de l'autre que nous nous sommes réveillés. En s'asseyant sur le lit, je lui ai murmurer un « Je t'aime » qui a eut la capacité de changer nos vies.


Et après ?


Après, c'est trop secret et trop long pour être raconter !


Fin

(image a venir)


Ecrit par Titiotte goth, le Lundi 14 Janvier 2008, 21:12 dans la rubrique "Histoires et Pornographie".


Commentaires :

  Juliapsycotik
14-01-08
à 21:20

ta nouvelle

trop bien ! j'ai adoré ! ; ) 

  La compagne de tes nuits chaudes =P
14-01-08
à 21:40

Re: ta nouvelle

Oh c'est so cute 
J'ai remarquer que tu fesait toujours l'homme...

  Delirium-Tremens
15-01-08
à 16:47

Quand on lit on sens une part de vécue!!


  titegreuet
15-01-08
à 18:01

Re:

He oui, je fais toujours l'homme...je trouve ca marrant de me mettre a la place du mec. Leur emotions toujours un peu porno, leur impression. En plus, je prend que des garcons puceaux, j'aime bien leur faire decouvrir...

Delirium-Tremens, ci tout dans la tête ! Juste quelqu'un d'exceptionnel qui m'as donner quelques renseignements ! Merci a elle !

  La compagne de tes nuits chaudes =P
17-01-08
à 18:36

Salut j'espere que tu sais qui sait...

Enfaite je voulais écrire au dernier article mais j'ai pas trouver ...

J'espere que tu te conectera

Mais par contre j'ai lu une certaine chose d'un autre article sa ma déçu mais bon ...