Love me, Take me, Betray me, Leave me

A trop parler pour ne rien dire, lâches les mots sans réfléchir, jusqu'à détruire...a tort ou a raison...
AqME

La douleur ne disparait jamais, on vit avec chaque heure, chaque jour, même si aujourd'hui la vie me sourit...
AqME

Je pense au 21. Je pense, je m'enfonce, je me défonce, jusqu'à finir en transe.
J'ai envie de jouer... Avec les mots, avec toi, avec lui, avec ma bouche, mes mains, avec sa bouche, ses mains, et tant d'autres choses de lui.
Je pense au 21. Je pense, je me perd, il s'inquiète, je m'étourdis. Hein ?
Sur un regard si froid et bleu...
J'ai envie de me dire que tout iras bien. Que même si ce sera un lundi, que même si ce sera les vacances, que même si je serais vraiment toute seule, je me dis que ça devrait aller.
En fait non, mais tant pis.
Je n'ai pas eu d'adieux, tu y crois toi ? Non mais... C'est pas ce que tu crois.
Je pense juste au 21.
Et puis, d'abord, je pense à ce que je veux, na ! Et puis, c'est pas comme si c'était ma faute, non ? J'aime qui je veux, je pense à qui je veux, je suis hantée par celui que je voudrais.
Mais moi, je pense au 21.
Oui, parce que ça à était Merveilleux, maintenant, c'est pouilleux. Oui, je sais, ça veut rien dire, et alors ? Mon ignorance est sans limite...
Je me vante pas, je voit juste la vérité en face de mes yeux. Oui, parce que j'en ai. Je suis pas si aveugle finalement, reste plus qu'à devenir humaine, sans la Poupée, ou la Puppet, selon la langue...

Goodbye so long... I wasn't there for you...
Soad

Ho, oui, les au revoir seraient (étaient) si longs, mais je ne savais pas que c'étaient des putains d'adieux ! Se n'en étaient même pas !
Je veux des adieux ! Des adieux, autant que je voulais être embrassée tout a l'heure...
Les adieux, trop longs ? Trop longs ? Ou moi, trop chiante ? La deuxieme, avoue... Menteur, menteur... Je ne peux pas penser ça, c'est faux, c'est trop faux, c'est juste un mensonge, n'est ce pas ? Tout ça n'est qu'un beau tissu de mensonges, dans lequel je me suis enroulée, pour me faire une belle robe de désillusions. Ha ! j'ai bien réussi. Elle est magnifique, cette toile d'araignée qui se referme sur mon corps(e). Oui, vraiment cette cage a été magnifiquement forgée, elle ressemble à une vierge de fer, s'enfonçant dans mon cerveau, contre mes yeux, dans ma poitrine. Je manque d'air.
Mais moi, je ne pense qu'au 21.
Et puis ? Moi, je ne pense qu'à lui, je ne rêve que de lui, me regardant, de lui, nu, de lui, me violant, de lui, étant mon (papa), de lui, souriant, de lui....
IL ME HANTE...
Et moi, je ne veux plus...
Pourtant, je pense aux 21...
Mais moi, je suis une 2Oth century girl, prés de zero...(Psykup, En vivre libre ou mourir, pour la réference)
Allez, laisse moi... Ma main te dessine, mes yeux te pleurent, mon cerveau te redessine, mon coeur te magnifie, mon âme t'idolâtre, maintenant, tu peux peut être partir ? Hein ?
De toute façon, de toute evidence, j'en aime un autre. Mon corps, ma libido, mes pensées futures, moi, tout ça, c'est à lui...
Parce que toi tu l'as jeté aux ordures... On s'y retrouvera, car "Felice will be laid to waste""Felice sera jeté aux ordures", comme tu disais. Chacun son tour ?