/!\ Porno délicat /!\
Toc toc toc
Le bruit de la porte
qui s'ouvrait, je me réveillais en sursaut, si l'on peut dire,
car je ne dormais pas vraiment.
«Alexis ? J'arrive pas
à dormir, et toi ?
-Helene ?... J'y arrive pas
non plus...
-C'est aussi a cause des parents ?
-...Oui.»
Helene
vint s'asseoir à cote de moi. C'était une belle jeune
fille aux cheveux bouclés qui lui retombaient sur les épaules,
elle avait de grands yeux bruns, tout comme ses cheveux d'ailleurs,
elle avait 17 ans, un beau corps, et c'était ma grande soeur.
Elle me prit doucement dans ses bras blancs, qui sentaient tellement
bon. J'enfouis mon visage dans sa chemise de nuit, je retins mes
larmes.
«J'arrive pas a croire qu'ils vont divorcer!!!
Promets moi que toi, tu ne m'abandonneras jamais !
-Je te le
promets, répondit elle en caressant doucement mes
cheveux.»
J'ai oublié de me présenter.
J'ai 13 ans, je m'appelle Alexis, j'ai de longs cheveux bruns et
lisses, des yeux, pareils à ceux de ma soeur. Je suis en 4°
et je passe mon temps a faire des conneries au collège.
Pourtant, j'ai de bonnes notes, ce qui fait que les profs ne me
disputent pas trop. Je suis très fort en anglais, et j'écris
beaucoup de chanson. Je joue de la basse et je voudrais monter un
groupe, malheureusement, personne ne veut faire de musique au
collège. Comme vous l'avez certainement compris, mes parents
vont divorcer. Ma famille. C'est tout ceux a quoi je tenais, mais
elle se dissout... Nous allons partir, avec ma mère et ma
soeur, on va laisser mon père tout seul. Ça m'énerve
tellement, tout cela me donne envie de pleurer, encore et encore.
Je me perdis contre ma soeur, son contact, si doux, si chaud,
me donnai encore plus envie de pleurer. Qu'aurait-elle dit si elle
savait ? Oh, comme je l'aimais, cette soeur toujours la pour
moi. Je crois qu'elle pleurait. A vrai dire, mes yeux étaient
fatigués de retenir toutes ses larmes, j'aurais voulu me
laisser aller aussi. Mais je savait qu'une fois la première
larme versée je ne pourrais plus m'arrêter. Il était
trop tard de toute façon. Je dut dire que j'avais un peu honte
de pleurer agrippé à ma soeur comme ça, mais je
me sentais si bien que je ne voulais pas que ça s'arrête.
Même en pleurant, elle continuait a me serrer et a me caresser
les cheveux tendrement.
Quand nous fûmes calmés
tout les deux, elle me proposa de dormir avec elle, car elle avait un
lit double. J'acceptai avec empressement, car j'adorais dormir contre
elle. Dans sa chambre, il n'y avait pas de rose, rien que du bleu, un
bleu foncé qu'on ne remarquait plus tellement sous les posters
qu'elle avait collé. Sa chambre, de forme rectangulaire, était
a coté de la mienne. Quand on entrait, directement sur la
droite on trouvait son lit. Au bout de celui-ci, avait été
place une armoire. Son bureau était au fond de la pièce,
à coté de sa coiffeuse. Je m'assis sur son lit, pendant
qu'elle se mettait sous la couverture. Elle m'attira doucement à
elle, me remonta la couverture jusqu'au épaules, déposa
un baiser sur mon front et me prit dans ses bras lorsqu'elle fut
couchée aussi. Sans rien demander, je m'étais blottit
tout contre elle, en enfouissant mon visage contre son épaule.
Maintenant, je pouvais dormir...
Comment aurais-je pu savoir
qu'en me réveillant je me retrouverai seul ? Que ma soeur
ne serait plus dans la chambre, ni même dans la maison ?
Comment aurai-je pu comprendre ce qu'il se passait, en allant au
collège et en revenant comme si de rien n'étais ?
Comment aurai-je pu la protéger de ce monsieur ? Si
j'avais était un véritable homme, elle n'aurait pas
été...
Le soir j'ai retrouvé ma soeur,
dans sa chambre, en pleurs. Je me suis assis a cote d'elle, sur son
lit et je lui ai demandé ce qu'il n'allait pas. Elle n'a même
pas posé son regard sur moi, elle regardait fixement devant
elle. Elle m'a juste murmuré : "violée"
avant de repartir dans ses sanglots. Je l'ai prise dans mes bras,
tout doucement et je lui ai demande qui etait le salaud qui avait ose
lui faire ca. Elle n'as pas répondu, elle n'a pas voulu. Une
question se posait à moi ; est ce que votre petit ami
vous viole s'il le fait sans votre accord ? La réponse
était certainement oui. Mais ma soeur n'avait pas de petit
ami, alors qui ? Qui ? Qui ?
Quelques heure
plus tard, je me réveillais, surpris, la tête sur les
genoux de ma soeur, qui avait enfin cessait de pleurer. La dernière
chose qui me restait à l'esprit était ces deux mots :
violée et qui. Helene caressait tendrement mes cheveux en
chantonnant une des chansons de sa création :
Sort
moi de la, je n'en peux plus
Sort moi de cet endroit, je ne sait
plus
Torture moi, tu as le droit
Mais aime moi, t'as pas le
choix
Tu t'es foutu dans la merde je crois
A toi de t'en
sortir, compte pas sur moi
J'effleure mon malheur et le tien
Je
ne tournerais plus la page du destin
Tu m'as déçue
car tu m'as déchue
J'étais un petit ange je ne suis
plus
Sauve moi, toi aux yeux de corbeau
Sauve toi, moi au
coeur en lambeaux
C'est tout ce que je connaissait de cette
chanson, mais je la trouvais magnifique. Elle allait si bien avec ma
soeur et sa voix, si belle, si envoûtante... Helene avait l'air
de ne plus se souvenir de ce qu'il s'était passé avant
mon endormissement. Avais-je rêvé, tout simplement ? Une
lueur dans ses yeux, une lueur de tristesse m'indiqua que non.
J'allais poser toutes sortes de questions quand je me ravisai. Ma
chére soeur avait une larme qui naissait au coin de l'oeil. Je
la regardais se former, grossir encore et encore, puis, elle commença
à rouler doucement et délicatement le long de la joue
si fine, si pale, si douce d'Helene. Une envie me pris, une envie
stupide de protection envers ma grande soeur, une envie d'amour. Sans
comprendre moi même se que je faisait, je me rapprochai de ses
lèvres, pulpeuses et douces, et les pris délicatement
dans un baiser. Elle ne riposta pas, se laissant aller. Du haut de
mes treize années, j'étais fier d'embrasser une jeune
fille si belle que ma soeur, sans qu'elle ne proteste. Lentement,
très peu sur de moi, j'entrouvris les lèvres, cherchant
à avoir ma soeur le plus possible. Certainement était-elle
dans un état second car elle entrouvrit les lèvres
aussi, me laissant entrelacer ma langue à la sienne. Je ne
voulait pas de la fin de ce baiser avec Helene, je me sentais si
bien, pour une fois j'avais l'impression d'exister. Pourtant, à
mon plus grand regret, elle détacha ses lèvres. Elle me
regarda avec un petit sourire avant de me demander :
"
Ça t'as fait du bien ?"
J'étais
interdit. Oui, ça m'avait fait du bien, mais j'en voulais
encore, l'amour que je portais a ma soeur, je commençais à
m'en rendre compte, n'était pas un amour fraternel. Depuis
quand portais-je dans mon coeur ma soeur, je n'en avais aucune idée,
mais je comprenais maintenant pourquoi je détestais autant les
larmes étoilées d'Helene.
" Et à
toi ?"
C'est tout ce que j'avais trouvé à
dire. Ma voix avait été agressive, et je le regrettais
presque. Pourtant ma soeur éclata de rire, se pencha vers moi
et repris mes lèvres, doucement, avec beaucoup d'amour, peut
être même un peu de passion. Mes longues mèches
tombaient sur mes yeux, alors, sans lâcher mes lèvres,
elle les dégagea. Elle prit aussi délicatement mon
visage dans ses mains blanches, tellement belles, tellement douces.
Me laissant emporter, je pris sa taille si fine, et la serrai contre
moi. Impossible maintenant de me défaire de cette fille qui
comptait tant pour moi. Mes yeux étaient fermés, mes
mains parcouraient le corps gracile de ma soeur, me faisant ressentir
à quel point j'étais fou d'elle. A l'aveuglette, avec
juste le toucher, son corps était encore plus merveilleux.
J'essayais de me représenter ce que je touchais, parcourant
son dos, sentant sous le tissus son corps frémir... Elle aussi
avait bougé ses bras ; ils étaient à
présent noués autour de mon cou.
A l'intérieur
de moi, je sentais une nouvelle envie. Une envie d'aller plus loin,
de voir ma soeur nue, et de me dénuder moi même. J'avais
envie de caresser directement son corps, sans l'intermédiaire
de son T-shirt. Timide, je descendit ma main, jusqu'à la fin
de son vêtement, puis, je passai mes doigts, hésitant.
Elle ne réagissait pas, alors, j'hasardais ma main, remontant
un peu, cherchant des endroits qui la ferait frissonner de plaisir.
Soudain, je sentis un nouveau tissu, avec une belle forme. Je me
doutais de ce qui se trouver sous ce tissu, mais je préférais
continuer ailleurs, ne pas aller trop loin. Je me détachais
d'Helene, et la fixai dans les yeux. Un peu de sueur perlait sur mon
front, elle l'essuya avec ce geste maternel que j'aimais tant. Dans
ses yeux que je fixais avec tant d'amour, je ne voyais plus de
regrets, plus de larmes, plus de tristesse, plus que de la joie et de
l'amour. Je me rendis compte que ma main était toujours sous
l'habit de ma soeur, et je l'ôtai vivement en rougissant. Elle
eu un petit sourire, et pour mon plus grand plaisir, glissa elle même
sa main sous mon T-shirt. Pourtant je rougis de plus belle. La vague
d 'envie revint, j'avais chaud, je me sentais bien, et ma soeur que
j'aimais tant me procurer du plaisir, en plus de sa protection
habituelle. Je sentais l'envie qui se regroupait dans mon
entre-jambe, j'avais l'impression que si je ne faisait rien,
j'exploserais. Ma soeur balada sa main sur mon torse, elle savait à
quel endroit elle devait insister pour me faire plaisir, et en
profitait. Pour ma part, mon envie augmentait encore, et j'avais
l'impression étrange que je rougissais autant qu'elle montait.
J'allais chercher les lèvres sucrées d'Helene,
repassant ma main sous son haut, caressant, mais moins hasardeusement
que la première fois. Ma respiration accelerait, sans que je
sache pourquoi, je sentais juste le plaisir devenir plus fort, encore
et encore. Ma soeur était passionnée dans son baiser,
ses mains étaient brûlantes, je les sentais descendre
vers mon pantalon, lentement, comme pour me faire languir un peu
plus. Je quittais sa bouche, et partit à la découverte
de son cou, l'embrassant, humant le doux parfum du corps de cette
femme qui me rendait fou. J'avais l'impression d'être contre
une sirène, une de ces si belles créatures
mythologiques. Sa main était arrivée prés de mon
pantalon, mais, elle ne la mit pas dans celui ci. Elle la ramena sur
ma nuque, dans un autre de ses instincts maternels. Elle me serra
fort contre elle, collant tout mon corps au sien. Ma main était
restée sous son vêtement, je l'avais placée sur
sa poitrine. Je ne pouvais maintenant plus l'enlever. Helene avait
elle fait exprès, je n'en avait aucune idée. La seule
chose qui était claire, c'était que sa poitrine était
très douce. Le plaisir qui s'accumulait en moi était si
fort que je me demandais si j'allais jouir. Nous n'avions pourtant
rien fait de si particulier, nous avions juste échange des
caresses, plus douces et passionnées les unes que les autres.
Sans que cela puisse être devine, elle me posa cette
question :
"Tu m'aimes ?"
Que
répondre ? La vérité ? Autre chose, au
risque de la blesser ? Je n'en savais strictement rien. Je
repensai à ce livre que nous avions lu une fois, ensemble.
C'était un livre a l'eau de rose, et le héros répondait
toujours pas un baiser. Je décidai de l'imiter et je prit ses
douces lèvres dans un baiser langoureux. J'aurais voulu oublié
que j'étais si jeune, et de plus, en présence de ma
soeur. Je savais que je faisais quelque chose de mal, mais j'en
voulais toujours plus. J'allais bientôt jouir, très
certainement. Je perdit les lèvres d'Helene pour lui
répondre :
" Bien sur que oui ! Ne me dit
pas que ses baisers ne sont rien pour toi !"
J'avais
peur de la réponse, peur qu'elle me dise qu'elle ne m'aimait
pas comme je l'aimais moi. J'avais encore envie de son corps, encore
envie de son âme pour moi seul. Elle ne me répondit pas
immédiatement, laissant les secondes s'écouler,
ressemblant tant à des heures. Elle parcourait mon visage, et
plus particulièrement mes lèvres du doigt. Dans son
regard brillait la même envie que la mienne, celle qui rongeait
mon âme et donnait a mon corps ces instincts qui m'auraient
permis de faire l'amour. Après qu'elle eut laisse les secondes
passer, pour me faire languir, elle me répondit.
"Non,
ce n'est pas rien, heureusement...
-Et toi, tu m'aimes ?
-Bien
entendu, mon p'tit frère chéri !
-Comment ?
-Ça
va te choquer, mais je t'aime au point de vouloir faire l'amour avec
toi...
-Vraiment ?
-Vraiment"
Je n'y tenais
plus, j'enlevai mon T-shirt, fit voler mes chaussures et mes
chaussettes et m'agrippai a l'habit de ma soeur, dans l'espoir de lui
enlever. Elle rit de ce changement en moi, du passage du petit frère
timide à l'amoureux fou éperdu. Pourtant, elle se
laissa faire. Je découvris alors son soutien-gorge, un beau
soutien-gorge noir avec un noeud pourpre au milieu. Mon regard
s'attarda sur sa poitrine. Magnifique... Je rougis de mes pensées,
mais enlevai tout de même mon pantalon. Je ne pouvais
maintenant plus cacher mon érection, mais l'envie de voir ma
soeur en sous-vêtements m'empêcha d'y penser. Lentement,
j'ouvris la braguette de la jupe en jean qu'Helene avait sur elle. Je
fit ensuite glisser la jupe jusqu'à terre, et j'en profitai
pour enlever les chaussures de ma chére grande soeur.
Maintenant que nous étions tout deux en sous-vêtements,
j'avais, au plus profond de moi, envie de reculer. Pourtant, l'envie
de faire l'amour à Helene était trop forte. Je
dégraphai le soutien-gorge de ma soeur adorée,
lentement, plus rouge que jamais : c'était la première
fois que je voyais une femme nue ou presque. Au moment ou je posais
mes mains sur sa culotte pour lui enlever, elle posa les siennes sur
mon boxer. Elle le fit glisser, lentement, en me regardant dans les
yeux, dans ses beaux yeux marrons qui brillaient d'amour. Je décidai
de ne pas enlever le peu d'habits qui lui restait, de parcourir le
bas de son corps de mes mains. Je commençai à caresser
sa cuisse, puis parti explorer ses fesses. Elle aussi parcourait mon
corps de ses mains. D'un coup, elle m'allongea et commença à
embrasser mon corps. Je rougi et poussai un gémissement.
J'aurais voulu moi aussi, faire gémir la jeune fille au dessus
de moi. Je la couchai a mon tour et ôtai sa culotte en
embrassant sa bouche, son cou et sa poitrine. J'eus enfin ce que je
voulais tant ; ma soeur poussa un long gémissement avant
de s'emparer de ma bouche entière. J'y répondis avec
passion puis décidai de commencer. Je me plaçai
délicatement entre ses longues jambes. Elle poussa un petit
soupir suivi d'un léger gémissement. J'allais commencer
le va-et-vient, quand elle m'attira à elle. Nous nous
embrassâmes tandis que j'oeuvrais. Au bout d'un certain temps,
nous criâmes ensemble le nom de l'autre, ayant atteint le
septième ciel. Puis, je me recouchai à cote d'elle,
posant ma tête sur sa poitrine, écoutant son coeur
battre a toute allure, puis, petit a petit, revenir à la
normale. Je n'aurai pus imaginer être aussi heureux un
jour.
Épilogue :
Avec ma soeur,
après avoir fait l'amour, nous fuguâmes loin de nos
parents. Nous vécûmes assez heureux, ma soeur ayant
trouvé un petit boulot en plus de ses cours. Elle visait une
carrière de bibliothécaire. Bien sur après avoir
eu tout les diplômes nécessaires, elle eut un travail
bien payé tandis que j'entrais à la faculté pour
des études de langues vivantes. Nous finîmes pas nous
marier, malgré la loi, bien qu'il fallut plusieurs procédures
plus longues les unes que les autres, et, enfin, nous pûmes
avoir notre enfant. Aujourd'hui, il aura 13 ans, et nous lui
révélerons tout...
Remerciements a Anna pour le
magnifique dessin !
Vous avez vu ? Ci le même sans les fautes (ou en tout cas avec moins de fautes !!!)
à 13:23