Love me, Take me, Betray me, Leave me

Qu'est ce qui c'est passé?

On s'est enguelé avec mes parents, mais forcement, "la raison du plus fort est toujours la meilleur".
Les plus fort ci eux

Oh :(
dur tout ça.
Ici en tout cas tu ne seras pas rabaissée et tu n'auras pas à te défendre. Je te souhaite même de reposer tes oreilles ici après les cris. Je ne sais pas si la douceur des mots est suffisante, mais au moins dis-toi que tu n'es pas seule : on est là quoi.
P'tite question : euh... c'est pour quoi les ciseaux ?...  je préfère imaginer que c'est pour couper la phrase au milieu, rien d'autre hein ?
(bon je sais pas si c'est nécessaire de le dire, mais moi aussi j'ai connu ça avec les miens à une époque, alors juste te dire que je te comprends façon vécu ; ce dénigrement subi qui fait si mal, ce besoin d'évasion vital, cette impasse de s'en prendre à soi-même. Alors je t'offre avec beaucoup de douceur mon sourire réconfortant, c'est peu je sais mais c'est l'équivalent virtuel d'une accolade tendre et rassurante).

=')
Nan, c'est enormement.
Merci d'être passé et d'avoir parler =')
Pour les ciseaux, j'ai rien fait ^^. C'est un tic nerveux, quand je vais mal je prend mes ciseaux...

Au fait j'ai oublié de dire un truc : je suis pas d'accord avec l'expression "la raison du plus fort est toujours la meilleure" ; non, ne crois pas ça surtout. Même si je sais bien que pour le moment c'est l'impression qu'ils donnent. Mais en fait ils t'écrasent de leur soi-disant force, ce qui n'est pas du tout la même chose qu'être fort, dans le sens noble du terme. A mes yeux la force ne devrait être que positive, mais bon, il est vrai qu'elle peut aussi être très mal utilisée.
D'ailleurs je repense à ce propos à une phrase de James Dean : "Les gens violents sont des faibles. Seuls les tendres sont vraiment forts." Alors si ça peut t'encourager, moi j'ai connu diverses formes de violence, et pourtant je suis quelqu'un de tendre, donc faut pas rester dans le négatif. On peut s'en sortir, et pas trop mal même :)
J'avais aussi relevé une phrase de "Delirium Tremens"  dans son dernier article qui me fait penser à ce que tu écris là, et j'avais voulu la commenter mais ça s'est arrêté à ce moment-là.(euh désolé je ne connais que son pseudo ici, et comme j'ai vu qu'elle avait répondu aussi, j'en profite si tu me le permets et si elle le permet aussi)
Je trouvais que sa phrase décrivait exactement ce qu'on peut resentir face à leur brutalité (que ce soit physique ou par des mots, c'est pareil en fait notre anéantissement) ; c'était quelque chose du style : On se roule en boule par terre et on attend que ça passe. Voilà, c'est ça ce que l'on fait : on attend que ça passe, car ça finit toujours par passer. Tu peux me croire, ok ?  Ne leur donne pas ce "plaisir" de baisser les bras, sois plus forte qu'eux justement, et reste ici pour t'évader, en attendant que ça passe :)

O_O...
Tu as les mots...qui rassurent et qui consolent...
Je ne leur montre jamais. Je me ferme quand je suis face a eux. Je ne montre plus rien, je ne parle même pas.
Par contre n'importe qui serait dans ma chambre avec moi ensuite appellerais l'asile.
Je veux pas leur montrer que je baisse les bras.
Merci d'être la.

Comme cette page n'est pas ta chambre, je n'appellerai donc pas l'asile ;) ;)
et tes mots de toute façon ne m'incitent pas à le faire (bon à part les ciseaux qui m'ont fait flipper un instant pour toi, mais c'est bon, tu as été rassurante sur ce propos alors je te fais confiance).
Encore une  fois je vais écrire que je te comprends (non non je ne radote pas !) : ne rien leur montrer, se taire, faire croire que tout va bien, à la limite quand c'est possible ne surtout pas pleurer face à eux (euh là ça dépend de ce qui a fait mal et comment).
Je sais pourtant que ce n'est pas la solution, mais franchement quand c'est trop dur à supporter et quand le combat est inégal (deux contre un), alors on dira que c'est un moyen de survie non ?
Ce qui est bien surtout c'est que tu n'as pas refermé totalement ton expression puisque tu écris ici par exemple, et ça c'est cool :)